jeudi 1 avril 2021

Pandémie en mode Netflix

 

Pandémie en mode Netflix,

contrôle en mode 42.

Tout est faux/ rien n’est vrai,

Macron sous coke,

Pétain au Panthéon,

Hitler en barre sur un comptoir en amiante,

commérages vicieux sur les réseaux,

les zéros hargneux se succèdent et

se ressemblent,

le petit totalitarisme des crétins digitaux,

les vaccinodromes avant les déportations

- S T O P –

Pandémie en mode Netflix,

contrôle en mode 42.

Tout est faux/ rien n’est vrai,

l’autan en emporte le blanc dans le noir dessein des gouvernants,

des financiers, des fans du bizutage et des suceurs de traders,

nous vivons dans la simulation d’un monde libre,

nous sommes dans une fiction fallacieuse :

l’autre est un facteur contagieux nous dit la télé,

nous sommes la fiction actuelle,

les discours spécieux,

le virus,

les spots gouvernementaux,

le vaccin, 

le conditionnement général,

la reprogrammation génétique,

le confinement et les déclarations alambiquées télévisées -

les gens parlent pour ne rien dire, les gens se plaignent,  

les gens c'est nous,

les gens c'est moi,

non décidément, rien d’intéressant sous la grisaille.


Pandémie en mode Netflix,

contrôle en mode 42.

Tout est faux/ rien n’est vrai,

coupez la télé, éteignez la radio et les fils d’actus,

écoutez

et

lisez.

L’extraction est déjà en cours - Work In Progress -

Le transfert aura lieu / le transfert sera effectif, 

mais uniquement pour les éveillés, 

les peops du satori,

ceux qui connaissent l’éblouissement de l’œil,

ceux qui réfléchissent par eux-mêmes,

ceux qui brillent dans l’obscurité,

ceux qui sont libres, vraiment libres,

ceux qui –

& le troupeau restera dans son enclos à QR-code,

& le troupeau continuera de se plaindre et de payer les impôts,

& le troupeau ira voter en pensant que ça changera,

& le troupeau crèvera dans ses excréments en se disant que ça sent la rose,

& le troupeau fumera ses troupes jusqu’à ce que mort s’ensuive

& le troupeau boira son alcool jusqu’à ce que mort s’ensuive

& le troupeau, nous pourrons l’oublier.

 




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